Janvier 1987
Le médecin généraliste, à son cabinet, est confronté, une fois sur 200 à 300 cas environ, avec une foulure du pied ou entorse de la cheville (1). Le plus souvent, la cause en est un accident sans gravité ou un faux pas, le malade portant des chaussures souples. Le présent travail émanant d'un cabinet suisse de pratique rurale possédant une installation de radiodiagnostic, a pour but de quantifier ce motif de consultation relativement fréquent dans le cadre de la médecine générale. Nous voulons également montrer la complexité de problèmes relativement simples en médecine générale et apprécier correctement, dans le cadre de l'aspect théorique de la profession, les résultats de ces consultations. D'après R.N. BRAUN, l'entorse du pied correspond à une distension ou à une rupture ligamentaire au niveau de l'articulation de la cheville et des articulations de la racine du pied (2) ; pour mon étude, je m'en suis tenu essentiellement à cette définition.
1) Feinstruktur einer Allgemeinpraxis, Schattauer éditeur, 1961. Lehrbuch der arztlichen Allgemeinpraxis, Urban &Schwarzenberg, 1970.
2) Non encore publiée. Communication personnelle.
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1) Feinstruktur einer Allgemeinpraxis, Schattauer éditeur, 1961. Lehrbuch der arztlichen Allgemeinpraxis, Urban &Schwarzenberg, 1970.
2) Non encore publiée. Communication personnelle.
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