SFMG - Société Française de Médecine Générale

Janvier 1987 Rosowsky O.
Chez les épidémiologistes anglo-saxons, en Autriche, en Suisse même, ces problèmes sont aujourd'hui connus et déjà en partie maîtrisés.

Nous en donnons, dans ce numéro, trois excellents exemples.

Sur de nombreux points, la Société Française de Médecine Générale dispose de résultats, de chercheurs et de concepts très avancés, même par rapport à nos collègues étrangers. Ces résultats seraient plus que jamais utiles s'ils étaient connus.

Quant à voir les connaissances nouvelles qui peuvent découler de ces outils nouveaux de nature épidémiologique, qu'il nous soit permis d'évoquer la capacité enfin acquise d'évaluer cliniquement et sur un plan national, la qualité du service médical rendu par une discipline tout entière dans un domaine pathologique bien défini.

Ainsi, dans le n° 23 des "Documents de Recherches" avons-nous commencé la publication des trois premiers chapitres du rapport final sur une étude approfondie des résultats atteints par le traitement de l'hypertension artérielle en Médecine Générale française, dans un réseau national de 82 cabinets médicaux.

On trouvera dans le présent numéro le chapitre IV de notre rapport qui s'intitule: HISTOIRE NATURELLE DES PATIENTS HYPERTE NDUS A TRAITEMENTS STABLES EN MEDECINE GENERALE FRANCAISE
- Sexe
- âge
- taille et poids
- chronologie de prise en charge
- Effets sur les résultats

Sont à paraître, dans les prochaines livraisons, les parties du rapport relatives aux divers traitements, à l’inventaire de la population par rapport aux normes biologiques, aux facteurs de gravité, aux complications et maladies associées à t'hypertension artérielle.

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