Janvier 1987
C'est une longue marche que celle entreprise lorsque fut fondée notre société scientifique en 1973.
L'année 1987 marque une étape et un tournant: une collaboration réelle et réciproque s'est instaurée entre nos instances et celles qui gouvernent, à des titres divers, la médecine française.
Selon un principe auquel nous tenons, c'est la publication de ce qui est déjà accompli qui permettra au lecteur de saisir la portée de ce que nous avançons.
Ainsi, les livraisons des "Documents de Recherches en Médecine Générale" pour 1988, montreront, par les travaux, thèses et mémoires publiés, ce qu'il en est de ces réalisations communes avec nos plus grandes institutions académiques, comme avec les gestionnaires de la Santé, les industriels du Médicament et l'Université.
Pour sa part, ce n° 26 -dernier de la série 1987- est inhabituel par sa présentation et sa minceur. Il répond à deux préoccupations : c'est une plaquette qui expose clairement, non pas des travaux mais les positions théoriques qui en découlent. Ainsi, on verra pour commencer le texte de notre contribution à un colloque sur la régulation des systèmes de santé, organisé le 5 juin 1987 par l'E.N.A. (Ecole Nationale d'Administration) suit la lettre adressée par nous à tous les membres de notre Académie de Médecine le 7 avril 1987. Les réponses reçues de nos illustres collègues ouvrent la possibilité d'un débat sur le fond. Nous nous y préparons en prenant le temps de la réflexion qui convient.
Enfin, on verra l'origine des préoccupations théoriques qui s o u s - tendent nos actions et nos travaux, dans la conclusion d'une étude SFMG - INSERM sur les conditions spécifiques de la recherche en médecine générale que nous avions exposées, dès 1979, à la communauté scientifique.
Mais il est une autre raison au volume restreint de cette publication qui achève l'année 1987. Vous savez combien la crise économique dans le monde réduit les marges où se puise le mécénat. C'est déjà pour cela que nous avons dû condenser en un seul mais important volume, la livraison des n° 24/25 que vous avez reçus récemment. C'est aussi ce qui nous a fait prendre le parti de créer deux ensembles de destinataires qui seront dorénavant les nôtres.
[lire la suite]
L'année 1987 marque une étape et un tournant: une collaboration réelle et réciproque s'est instaurée entre nos instances et celles qui gouvernent, à des titres divers, la médecine française.
Selon un principe auquel nous tenons, c'est la publication de ce qui est déjà accompli qui permettra au lecteur de saisir la portée de ce que nous avançons.
Ainsi, les livraisons des "Documents de Recherches en Médecine Générale" pour 1988, montreront, par les travaux, thèses et mémoires publiés, ce qu'il en est de ces réalisations communes avec nos plus grandes institutions académiques, comme avec les gestionnaires de la Santé, les industriels du Médicament et l'Université.
Pour sa part, ce n° 26 -dernier de la série 1987- est inhabituel par sa présentation et sa minceur. Il répond à deux préoccupations : c'est une plaquette qui expose clairement, non pas des travaux mais les positions théoriques qui en découlent. Ainsi, on verra pour commencer le texte de notre contribution à un colloque sur la régulation des systèmes de santé, organisé le 5 juin 1987 par l'E.N.A. (Ecole Nationale d'Administration) suit la lettre adressée par nous à tous les membres de notre Académie de Médecine le 7 avril 1987. Les réponses reçues de nos illustres collègues ouvrent la possibilité d'un débat sur le fond. Nous nous y préparons en prenant le temps de la réflexion qui convient.
Enfin, on verra l'origine des préoccupations théoriques qui s o u s - tendent nos actions et nos travaux, dans la conclusion d'une étude SFMG - INSERM sur les conditions spécifiques de la recherche en médecine générale que nous avions exposées, dès 1979, à la communauté scientifique.
Mais il est une autre raison au volume restreint de cette publication qui achève l'année 1987. Vous savez combien la crise économique dans le monde réduit les marges où se puise le mécénat. C'est déjà pour cela que nous avons dû condenser en un seul mais important volume, la livraison des n° 24/25 que vous avez reçus récemment. C'est aussi ce qui nous a fait prendre le parti de créer deux ensembles de destinataires qui seront dorénavant les nôtres.
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