Depuis 1985 la SFMG a développé cet outil utile aux soins qui permet au médecin généraliste de recenser et dénommer les problèmes de santé qu’il observe, tout en l’aidant dans sa démarche décisionnelle.
Acteur central des soins de premier recours, sans plateau technique, le médecin généraliste se situe à l’entrée du système de soins. Les « troubles de santé » qu’il observe se présentent dans 70% des cas sous la forme de symptômes ou de syndromes mal définis, dont personne ne peut dire s’ils disparaitront spontanément, s’il s’agit de maladies typiques vues à un stade précoce, de formes atypiques de maladies voire même de maladies non encore répertoriées !
Il devient ainsi le spécialiste de la sémiologie clinique, de la gestion du risque et du suivi dans le temps de chaque problème qu’il prend en charge.
Le Dictionnaire des Résultats de Consultation est bien le reflet du « vrai monde » de la Médecine Générale : celui où les symptômes ou signes présentés par nos patients ne sont que rarement caractéristiques d’une maladie ; celui où parfois ils se combinent en un syndrome qui ne sera peut-être significatif que plus tard.
Mais pour permettre de comparer nos observations à celles des autres spécialités, il fallait passer par le standard utilisé dans tous les pays pour classer les maladies et autres problèmes de santé : la Classification Internationale des Maladies.
Il a fallu plus de deux ans de travail à la SFMG, avec l’aide précieuse de l’AUNIS (Association des Utilisateurs de Nomenclatures Nationales et Internationales de Santé) pour réaliser l’encodage des Résultats de Consultation. Chacun d’entre eux correspond ainsi soit à un seul code CIM-10 comme c’était le cas jusqu’à présent, soit, en fonction des critères choisis, à plusieurs codes CIM-10. Un peu moins de 900 rubriques de la CIM-10, qui en compte plus de 30 000, ont été utilisées.
Nous en avons profité pour améliorer certaines définitions ou rendre plus compréhensibles certains argumentaires qui n’avaient pas été modifiés depuis la première édition.
C’est naturellement sous la forme informatique du DRC que cet encodage sera utilisé au mieux : le praticien ne choisira pas lui-même le Code CIM-10, mais son logiciel le fera pour lui, en « tâche masquée » en fonction des items qu’il aura choisis.
Il va sans dire que les utilisateurs de plus en plus nombreux du DRC sont invités à nous adresser leurs remarques sur les définitions dont l’utilisation en temps réel reste la meilleure validation.
Acteur central des soins de premier recours, sans plateau technique, le médecin généraliste se situe à l’entrée du système de soins. Les « troubles de santé » qu’il observe se présentent dans 70% des cas sous la forme de symptômes ou de syndromes mal définis, dont personne ne peut dire s’ils disparaitront spontanément, s’il s’agit de maladies typiques vues à un stade précoce, de formes atypiques de maladies voire même de maladies non encore répertoriées !
Il devient ainsi le spécialiste de la sémiologie clinique, de la gestion du risque et du suivi dans le temps de chaque problème qu’il prend en charge.
Le Dictionnaire des Résultats de Consultation est bien le reflet du « vrai monde » de la Médecine Générale : celui où les symptômes ou signes présentés par nos patients ne sont que rarement caractéristiques d’une maladie ; celui où parfois ils se combinent en un syndrome qui ne sera peut-être significatif que plus tard.
Mais pour permettre de comparer nos observations à celles des autres spécialités, il fallait passer par le standard utilisé dans tous les pays pour classer les maladies et autres problèmes de santé : la Classification Internationale des Maladies.
Il a fallu plus de deux ans de travail à la SFMG, avec l’aide précieuse de l’AUNIS (Association des Utilisateurs de Nomenclatures Nationales et Internationales de Santé) pour réaliser l’encodage des Résultats de Consultation. Chacun d’entre eux correspond ainsi soit à un seul code CIM-10 comme c’était le cas jusqu’à présent, soit, en fonction des critères choisis, à plusieurs codes CIM-10. Un peu moins de 900 rubriques de la CIM-10, qui en compte plus de 30 000, ont été utilisées.
Nous en avons profité pour améliorer certaines définitions ou rendre plus compréhensibles certains argumentaires qui n’avaient pas été modifiés depuis la première édition.
C’est naturellement sous la forme informatique du DRC que cet encodage sera utilisé au mieux : le praticien ne choisira pas lui-même le Code CIM-10, mais son logiciel le fera pour lui, en « tâche masquée » en fonction des items qu’il aura choisis.
Il va sans dire que les utilisateurs de plus en plus nombreux du DRC sont invités à nous adresser leurs remarques sur les définitions dont l’utilisation en temps réel reste la meilleure validation.
Téléchargez le bon de commande de la version papier 2010 du Dictionnaire des Résultats de Consultation